FMG © 2006
D’un Liban à un autre Liban
Pourquoi faut-il ces cimetières
Ce retour incessant au néant
Pourquoi ces bombes tombent-elles sans cesse
Sur ces gens qui pourtant ne cherchent qu’à s’amuser
Sur ces femmes qui connaissent les vraies caresses
De la vie, de l’amour et de la liberté
J’ai vu dans ce pays des hommes se reconstruire
En continuant à croire qu’il devait être possible
De partager ensemble une terre et un avenir
Au-delà de ces religions qui ne sèment que la zizanie
Quel est ce droit que se donne un pays
D’inexorablement en détruire un autre
Sous prétexte qu’il y est d’autres partis
Ce pays à détruire pourrait alors être le nôtre
Ces messieurs qui savent où se trouve leur bon droit
Savent-ils où se trouve celui de ces enfants
Dont la vie ne tient qu’à un poker de rois
Sur la table de ceux-là qui se croient si puissants
François-Marie GERARD - FMG © 2006
Un attentat par ci, un attentat par là… Quelques morts au passage. Dans l'indifférence ? Ce serait une erreur de le croire. La mort ne laisse jamais personne indifférent. Les Libanais le savent bien, eux qui la côtoient depuis si longtemps. Alors qu'il y a tant à faire. Mais le monde, lui, s'en fout. Sans doute. Finalement, cela arrangerait bien la Syrie, l'Iran, Israël, les États-Unis et l'Arabie saoudite que le Liban disparaisse, une bonne fois pour toutes rayé de la carte. Les Libanais ? Ils n'ont qu'à aller ailleurs, n'est-ce pas ? Quasiment un an après un autre message, cela donne toujours la nausée !
Avant d'écouter "Liban", arrêtez le lecteur à droite.
D’un Liban à un autre Liban
Pourquoi faut-il ces cimetières
Ce retour incessant au néant
Pourquoi ces bombes tombent-elles sans cesse
Sur ces gens qui pourtant ne cherchent qu’à s’amuser
Sur ces femmes qui connaissent les vraies caresses
De la vie, de l’amour et de la liberté
J’ai vu dans ce pays des hommes se reconstruire
En continuant à croire qu’il devait être possible
De partager ensemble une terre et un avenir
Au-delà de ces religions qui ne sèment que la zizanie
Quel est ce droit que se donne un pays
D’inexorablement en détruire un autre
Sous prétexte qu’il y est d’autres partis
Ce pays à détruire pourrait alors être le nôtre
Ces messieurs qui savent où se trouve leur bon droit
Savent-ils où se trouve celui de ces enfants
Dont la vie ne tient qu’à un poker de rois
Sur la table de ceux-là qui se croient si puissants
François-Marie GERARD - FMG © 2006
Une de tes très belles chansons...
RépondreSupprimerQuelle connerie que les guerres ! Tant d'autres choses valent la peine d'être vécues. Le pire c'est que les décideurs ne sont en général pas en première ligne lors des dangers.
Brigitte