Depuis lors, je ne compte plus les machines Apple qui m’ont accompagné dans mes tâches professionnelles, mais aussi dans mes loisirs : AppleIIC, SE-30, 630, 5300, Classic, LCII, LCIII, 4400, PB 100, PB 140, Duo 190, PB 1400, iMac, PB G3, PB G4, MacBook Pro… Toutes ces machines (et j’en oublie certainement) m’ont toujours ébloui par leur facilité d’utilisation, leur puissance de travail, leur convivialité, la diversité de leurs applications, leur part de rêve !
Je suis bien sûr aussi utilisateur de PC, mais même si ceux-ci font parfois des choses qu’un Mac ne fait pas – quoi, en fait ? – je n’ai jamais eu avec un PC le même plaisir qu’avec un Mac, sans compter tout ce qu’on fait avec un Mac et qu’on ne peut pas faire avec un PC. Mais la question n’est pas là aujourd’hui.
L’événement du jour, c’est bien sûr le départ de Steve Jobs. Un véritable visionnaire. Un de ces personnes qui doivent connaître le sens du mot « génie » pour tout simplement le vivre au quotidien.
C’est sous son instigation qu’il y eut aussi l’arrivée de l’iPod. Celui-ci bouleversa ma relation – essentielle – à la musique. Je ne suis pas (encore) passé à l’iPhone ni à l’iPad, tout en reconnaissant que ce sont de petits bijoux.
Cela dit, tout n'est pas joli dans cette histoire ! Le personnage n'était apparemment pas toujours d'une grande convivialité, surtout vis-à-vis de ses subordonnés. Et bien sûr, les usines de construction des petits bijoux en question ne sont pas spécialement des usines à fabriquer des droits de l'homme ! Enfin, si Jobs était un génie, c'était sans doute avant tout en matière de marketing, avec l'obsession première de faire de l'argent. Tout cela est vrai, et j'en ai bien conscience. N'empêche, toutes ces petites machines ont changé ma vie, plus en bien qu'en mal !
Alors, M. Jobs, simplement, merci…
Respect !
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