mercredi 4 avril 2012

La saga des sorcières

Ainsi donc, aujourd’hui, j’ai vaincu le niveau 155 – c’est-à-dire le dernier niveau du jeu de base – de « Bubble Witch Saga ». Rassurez-vous : j’ai parfaitement conscience que devant l’infinité petite et grande de l’univers, cela n’a aucune espèce d’importance !

Mais enfin, je me suis quand même bien amusé à atteindre ce niveau. Les premières fois que j’ai joué avec ce jeu, j’avoue que je n’y comprenais pas grand chose et que j’ai rapidement abandonné. Et puis, voyant que d’autres y jouaient, j’y suis revenu et j’ai fini par y rester. Entre-temps, mes « amies » avaient bien avancé. J’ai fini par les rattraper, les dépasser et donc par terminer le jeu. Je suis le premier parmi mes « amis » (qui depuis lors sont devenus plus nombreux à entrer dans le jeu), mais je ne doute pas un seul instant qu’il doit y avoir de par le monde bien d’autres joueurs qui ont fini depuis longtemps et bien mieux que moi.

On trouve son plaisir où on le trouve. Je me suis bien amusé à jouer ce jeu où – une fois de plus – il ne s’agit que de faire éclater trois bulles de la même couleur. Ce qui m’a intéressé ici, c’est qu’il ne s’agit pas d’un jeu ni d’adresse ni de vitesse. Celles-ci ont bien sûr leur importance, mais en réalité, il faut avant tout réfléchir ! Pour chaque niveau, il faut trouver la voie qui permettra d’atteindre l’objectif ultime : avoir au moins 9 trous dans le ciel paradisiaque ! Ça n’a l’air de rien, mais en réalité, pour certains niveaux, il faut émettre plusieurs hypothèses avant de trouver la bonne.

Je me souviens ainsi d’un niveau – je ne sais plus lequel – où il m’a fallu pas mal de temps pour comprendre qu’il fallait « hausser l’ensemble des bulles » alors que dans la plupart des cas on cherche surtout à le descendre. J’ai aussi en mémoire le niveau 55, particulièrement féroce. Après l’avoir vaincu, j’ai pu dire à mon amie Ninise qu’il fallait attaquer à gauche et à droite plutôt qu’au centre. Alors qu’elle était calée depuis de nombreuses parties, il lui en a dès lors suffi d’une seule pour atteindre enfin ces fameux 9 trous !

Il y a d’autres niveaux par la suite où je me suis dit « Non, ça, c’est impossible » ! Et puis en réessayant, en changeant de tactique, en testant des hypothèses – et surtout en ayant un peu de chance, il faut bien l’avouer – j’ai pu vaincre l’obstacle et continuer mon périple.

Je suis donc arrivé au bout de la course, en prenant pas mal de plaisir dans le dernier « pays ». On y découvre des bulles-mystères qui peuvent se révéler bonnes ou mauvaises. En jouant sur le goût du risque, on découvre encore d’autres plaisirs.

Au bout de la course de base, oui… mais il paraît qu’il y a les « Îles éternelles » avec de nouveaux niveaux ! Je m’en vais donc découvrir cela, en sachant qu’on passe son temps comme on le peut, mais que là où il n’y a pas de plaisir, il n’y a pas de jeune !

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