samedi 7 mars 2009

Quatuor, Corps à cordes

FMG © 2009

Que dire qui n’ait déjà été dit sur « Le Quatuor » ? Rien. Si ce n’est que leur spectacle est un moment magique où le temps suspend son vol.

Il y a de la musique, bien sûr. Pas n’importe laquelle. Quelle leçon de tolérance et d’ouverture quand tous les styles se mélangent dans des harmonies célestes !

Il y a de la poésie. Celle des mots, mais aussi et surtout celle du surréalisme permanent où l’on prend conscience que tout est possible, que la réalité est transcendée dans un émerveillement subliminal.

Il y a de la danse. Celle des corps qui ne sont pas faits pour ça, mais qui – on ne sait trop comment – se transforment en un ballet incessant où le cristal des voix rivalise avec l’architecture du geste.

Il y a de l’humour, évidemment. Celui qui emporte l’imagination dans les rêves les plus fous et les plus délirants. Celui qui fait oublier le temps tant on en rit, tant on en vit.

Il y a de la lumière. Celle qui accompagne la musique, la poésie, la danse et l’humour pour les transporter vers des horizons insoupçonnés où la ligne claire défie la courbe de la vie. Sans la lumière, il manquerait l’essentiel.


Deux autres tableaux : des chansons et des guitares.

1 commentaire:

  1. Un spectacle qui paraît riche et foisonnant. On doit en sortir ébloui, en se disant qu'on aime toutes les musiques : elles sont rendues avec tellement de vie ! Belle performance !

    Merci pour le partage !

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