Les labyrinthes ont toujours quelque chose de mystérieux. On s’y perd alors qu’ils sont dominés par l’ordre strict. On y tourne en rond alors que ce sont les angles qui les constituent. On s’y trouve enfin à force de s’y perdre, atteignant nos propres limites là où elles nous sont imposées. Un mystère.
Alors, quand un labyrinthe n’existe que pour le plaisir, cela devient encore plus mystérieux. Et plus merveilleux.
Une plage offre son sable. L’homme fait le reste. C’est beau, simple et inutile.
Luc Boland est devenu grand, mais il reste le poète qu’il était à 11 ans, une idée à la tête. Ses enfants l’accompagnent dans ses rêves, avec Lou, un petit prince pas comme les autres, qui nous partage son piano. Juste pour le plaisir !
Une création poétique, absolument inutile, éphémère, ludique, c'est superbe !
RépondreSupprimerJe redécouvre par ce billet le blog de Lou : il a bien de la chance d'avoir des parents qui ont l'intelligence du coeur. Et Lou a un vrai talent musical.
Super l'idée du labyrinthe. Rien qu'avec du sable, de l'ingéniosité et de la persévérance. La musique ajoute une dimension non négligeable. Merci pour le partage.
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