Il n’y a pas grand monde sur la scène. Juste Antoine Quinet aux claviers et puis, Coline Malice, à la voix et à l’accordéon (diatonique). Mais toute la scène est habitée de ce bout de femme qui nous raconte ses histoires, qui nous partage ses émotions, qui nous fait voltiger de voyage en rencontre, de rencontre en voyage, de colline en malice.
En regardant le ciel doucement se coucher
J’pense aux mille merveilles qui restent à inventer
Solitaire dans mes rêveries
Ni guerre, ni loi, ni ennemi
Seule à regarder la pluie
C’est pour des p’tits moments comme ça qu’on vit
Seule à regarder la vie
C’est dans des p’tits moments comme ça qu’on vit
J’pense aux mille merveilles qui restent à inventer
Solitaire dans mes rêveries
Ni guerre, ni loi, ni ennemi
Seule à regarder la pluie
C’est pour des p’tits moments comme ça qu’on vit
Seule à regarder la vie
C’est dans des p’tits moments comme ça qu’on vit
Coline Malice (belge installée en Auvergne) trouvera – c’est sûr – son chemin dans l’univers de la chanson. Cette chanson des artisans, celle avec laquelle il est si bon de respirer (Mon pays tranquille), de sentir les larmes couler lorsque l’émotion vous assaille (une chanson extraordinaire pour une vieille dame qui se retrouve en maison de repos), de partager ses peurs, mais surtout son bonheur (Vingt-neuvième hiver), de toucher toute la fragilité du monde (Petite fleur).
Si ce moment est inoubliable, si les cœurs étaient ouverts, si des jeunes ados eux-mêmes se sont laissés prendre au piège de la tendresse et de la vérité, « c’est que c’était comme ça ! ».
(Mettez le lecteur audio sur Pause avant de lire la vidéo.)
D'autres vidéos (pas de très bonne qualité malheureusement) sont disponibles ici. Sans oublier bien sûr, son CD Petits moments qui vient de sortir… Un régal !
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