Pendant ce temps, quelques poignées d’autres êtres humains – parfois même les mêmes – ont fait en sorte de rendre impossible le bonheur des autres. L’espèce humaine a aussi cette autre particularité : elle lutte souvent contre le bonheur !
Il y a des guerres un peu partout. Ce n’est malheureusement jamais cela qui manque. Mais j’ai beau réfléchir, analyser, m’informer… il y en a une que je ne comprends pas : pourquoi les Israéliens envoient-ils leurs bombes sur la bande de Gaza et pourquoi les soldats du Hamas jettent-ils leurs roquettes sur Israël ?
Comprenons-nous bien : je ne me positionne ni en faveur d’Israël ni en faveur du Hamas. Pour moi, clairement, les deux parties ont tort et commettent toutes deux l’innommable : la destruction gratuite d’êtres humains innocents. Il n’y a pas beaucoup de mots pour ce genre d’actes : assassinats, crimes, homicides, génocides, infanticides…
Le plus grave dans cette violence est que ses protagonistes pensent vraiment qu’ils vont arriver à quelque chose en tuant l’autre. Sans comprendre qu’on ne peut arriver au bonheur qu’en se parlant et en s’écoutant. Ne visons pas même le bonheur : on ne peut être voisins qu’en se parlant et en s’écoutant…
J’avoue n’avoir aucune illusion : les hommes continueront à se battre, sans que cela ne serve à rien d’autre qu’à tuer au passage d’innocentes victimes.
La violence est le dernier recours de l’incompétence. Ce n’est que quand on n’a pas d’autre solution que l’on devient violent. Ou du moins, que quand on n’a pas su trouver d’autre solution. Nom d’un chien, apprenons la paix !
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Il n’y a guère de guerres
Qui en valent la peine
Même les guerres de naguère
Ne conduisent qu’à la haine
Toute guerre est vulgaire
Et tout à fait vaine
Bien sûr la guerre de 100 ans
A duré quelques temps
En est-elle pour autant
Plus jolie pour ses combattants ?
La guerre de Troie, c’est déjà mieux
Elle au moins n’aura pas lieu
Ses guerriers deviendront vieux
Et en béniront les cieux
Bien sûr rien ne vaut les guerres saintes
Qui ne sont jamais en demi-teinte
Pour faire naître la crainte
Et laisser leur empreinte
Sans oublier les guerres civiles
Qui se passent à domicile
Mais conduisent à l’exil
De milliers de civils
Bien sûr les 2 guerres mondiales
Rivalisent en pierres tombales
Comme s’il était presque normal
Pour l’homme d’être bestial
La guerre d’Irak ne fut pas un drame
Grâce à la capture de Saddam
Et à la gloire du programme
De M. Bush et ses amalgames
Bien sûr les guerres continueront
Il y aura toujours des faucons
Pour se conduire en vrais cons
Et faire tonner le canon
Il faut dire que la violence
Dernier recours de l’incompétence
N’apparaît que par ignorance
Des chemins de l’intelligence
François-Marie GERARD - FMG © 2003
Qui en valent la peine
Même les guerres de naguère
Ne conduisent qu’à la haine
Toute guerre est vulgaire
Et tout à fait vaine
Bien sûr la guerre de 100 ans
A duré quelques temps
En est-elle pour autant
Plus jolie pour ses combattants ?
La guerre de Troie, c’est déjà mieux
Elle au moins n’aura pas lieu
Ses guerriers deviendront vieux
Et en béniront les cieux
Bien sûr rien ne vaut les guerres saintes
Qui ne sont jamais en demi-teinte
Pour faire naître la crainte
Et laisser leur empreinte
Sans oublier les guerres civiles
Qui se passent à domicile
Mais conduisent à l’exil
De milliers de civils
Bien sûr les 2 guerres mondiales
Rivalisent en pierres tombales
Comme s’il était presque normal
Pour l’homme d’être bestial
La guerre d’Irak ne fut pas un drame
Grâce à la capture de Saddam
Et à la gloire du programme
De M. Bush et ses amalgames
Bien sûr les guerres continueront
Il y aura toujours des faucons
Pour se conduire en vrais cons
Et faire tonner le canon
Il faut dire que la violence
Dernier recours de l’incompétence
N’apparaît que par ignorance
Des chemins de l’intelligence
François-Marie GERARD - FMG © 2003
Merci de rappeler, en mots et par ta chanson, cette vérité oubliée : la violence n'est jamais une solution. C'est une absence cruelle de communication, qui blesse et tue aveuglément, au nom d'obscures raisons qui n'éviteront jamais, in fine, une négociation du conflit par les mots. Mais quand ?
RépondreSupprimerUne page qui donne quelques éclairages : (voir aussi les liens) : par babel.
RépondreSupprimerIl faudrait une super fée comme médiateur ! Mais je doute qu'elle soit née...