C’est une ampoule assez spéciale, car elle est obtenue par pliage – à la façon origami – de circuits imprimés parsemés de diodes électroluminescentes (LED). Au bout du compte, l’ampoule se visse sur n’importe quel soquet et émet, selon ses concepteurs, « une lumière blanche naturelle, brillante et chaleureuse, parfaitement confortable, un peu comme lorsque vous êtes exposé à la lumière du soleil en plein après-midi ».
Elle a évidemment un prix : 34 euros. Mais elle aurait une durée de vie de 30 000 heures : utilisée à raison de 4 heures par jour, elle rendrait l’âme après 20 ans de bons et loyaux services, avec une consommation hyper réduite ! Qui dit mieux ?
Plus que vraisemblablement, quelqu’un dira mieux un jour ! La recherche dans ce domaine est permanente et les produits nouveaux et performants continueront à apparaître. Difficile de dire aujourd’hui si la NanoLight connaîtra une grande diffusion. On peut l’espérer, mais la complexité des marchés est ce qu’elle est. Même un produit de qualité peut ainsi ne connaître que l’oubli en fonction des jeux d’influence et des enjeux économiques des grandes entreprises concernées.
En attendant, ne boudons pas notre plaisir. La gestion de l’énergie – comme celle de l’eau d’ailleurs – est un réel défi pour l’homme du XXIe siècle. Toute avancée technique permettant de réduire la facture énergétique est un progrès véritable dans la mesure où elle contribue à mieux gérer le capital énergétique de la Terre. C’est une question de survie : plus on consomme d’énergie, plus – non seulement – on diminue les richesses naturelles, mais aussi plus on accroît la pollution énergétique qui contribue au dérèglement climatique.
Enfin, le look de la NanoLight me plaît bien, sans compter sa méthode d’assemblage que vous pourrez découvrir dans les trente dernières secondes de cette vidéo !
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