En ce moment, je devrais être en train de rouler vers un petit village namurois pour aller y chercher un lot de 147 bouteilles de vin, achetées pour 100 EUR. Sans aucune garantie de qualité. Toutes sortes de bouteilles, conservées depuis je ne sais quand, un peu n’importe comment, dans un garage. Sans aucune illusion donc, mais à 0,68 EUR la bouteille, il ne devrait pas y avoir trop de regrets. Avec l’espoir que dans le tas, il y en ait quelques-unes de bonne qualité !
Je n’avais donc pas hésité trop longtemps devant cette offre publiée sur une de ces « brocantes » virtuelles qui fleurissent sur Facebook. Échange par message privé avec la vendeuse, accord pour prise de livraison ce matin. Bref, tout baignait !
Sauf que la dite vendeuse m’a envoyé durant la soirée ce message : « Désolée mais quelqu'un vient de venir chercher les bouteilles. J'ai préféré vendre au premier venu. » ! J’ai râlé évidemment et je le lui ai dit, mais pouvais-je m’attendre à mieux ?
Je ne sais pas ce qu’il s’est exactement passé. L’acheteur s’est non seulement engagé à venir chercher le lot immédiatement, mais il est fort possible qu’il a aussi surenchéri. Ce qui aurait évidemment incité la brave dame à vendre à ce plus offrant. Là où elle aurait dû agir de manière plus transparente et plus honnête eut été de reprendre contact avec moi en faisant jouer les enchères, tant sur le temps que sur le prix. S’il fallait aller les chercher immédiatement, je l’aurais fait. En étant d’accord aussi pour augmenter le prix, par exemple 147 EUR pour le lot. Un euro la bouteille, ça le fait !
Si j’avais perdu ces enchères, j'aurais été battu à la régulière. Mais ici, je n’ai même pas pu jouer. J’ai perdu alors qu’on ne m’a même pas donné les cartes du jeu.
Je n’en fais pas un drame. Non seulement, cela m’évite de devoir trouver une place pour ranger ces 147 bouteilles, mais de plus je ne me faisais aucune illusion sur leur qualité, tout comme je ne m’en fais pas plus sur ces accords de vente entre personnes privées qui ne se connaissent pas et ne se connaîtront jamais. Parfois, tout se passe bien ; parfois, ça coince. On n’en meurt pas !
D’ailleurs, si j’en parle, c’est plus parce que j’avais besoin d’un billet libellé « Coups de blues » pour terminer mon cycle des 4 libellés. Voilà qui est fait. Et ça, c’est bien.
Je n’avais donc pas hésité trop longtemps devant cette offre publiée sur une de ces « brocantes » virtuelles qui fleurissent sur Facebook. Échange par message privé avec la vendeuse, accord pour prise de livraison ce matin. Bref, tout baignait !
Sauf que la dite vendeuse m’a envoyé durant la soirée ce message : « Désolée mais quelqu'un vient de venir chercher les bouteilles. J'ai préféré vendre au premier venu. » ! J’ai râlé évidemment et je le lui ai dit, mais pouvais-je m’attendre à mieux ?
Je ne sais pas ce qu’il s’est exactement passé. L’acheteur s’est non seulement engagé à venir chercher le lot immédiatement, mais il est fort possible qu’il a aussi surenchéri. Ce qui aurait évidemment incité la brave dame à vendre à ce plus offrant. Là où elle aurait dû agir de manière plus transparente et plus honnête eut été de reprendre contact avec moi en faisant jouer les enchères, tant sur le temps que sur le prix. S’il fallait aller les chercher immédiatement, je l’aurais fait. En étant d’accord aussi pour augmenter le prix, par exemple 147 EUR pour le lot. Un euro la bouteille, ça le fait !
Si j’avais perdu ces enchères, j'aurais été battu à la régulière. Mais ici, je n’ai même pas pu jouer. J’ai perdu alors qu’on ne m’a même pas donné les cartes du jeu.
Je n’en fais pas un drame. Non seulement, cela m’évite de devoir trouver une place pour ranger ces 147 bouteilles, mais de plus je ne me faisais aucune illusion sur leur qualité, tout comme je ne m’en fais pas plus sur ces accords de vente entre personnes privées qui ne se connaissent pas et ne se connaîtront jamais. Parfois, tout se passe bien ; parfois, ça coince. On n’en meurt pas !
D’ailleurs, si j’en parle, c’est plus parce que j’avais besoin d’un billet libellé « Coups de blues » pour terminer mon cycle des 4 libellés. Voilà qui est fait. Et ça, c’est bien.
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